L'ASSASSINAT DU PRESIDENT HABYARIMANA EST L'ACTE DECLANCHEUR DU GENOCIDE DES ''TUTSI''
LE FPR A ASSASSINÉ LE PRÉSIDENT HABYARIMANA POUR CONQUÉRIR LE POUVOIR
Les Présidents Juvénal Habyarimana a été assassiné le 6 avril 1994, à 20h30min, heure de Kigali, et le GÉNOCIDE RWANDAIS a commencé immédiatement soient juste 10h après l'attentat CRIMINEL contre la Falcon-50 présidentielle la nuit du 06 Avril 1994. Un évènement que n'évoque jamais le pouvoir actuel à Kigali dont personne au sein de la communauté internationale chapeauté par les USA ne souhaite aborder car tous complices (la boîte de Pandore).
Ça fait 31 ans que PaulKagame exploite le Génocide pour rançonner ceux qui lui ont donné l'ordre d'éliminer physiquement le président HABYARIMANA, sauf que cela a coûté la vie à deux chefs d'État, leurs proches collaborateurs et l'équipage français à bord. Mais encore et surtout cela à permis d'activité le plan de conquête du pouvoir du FPR coûtant la vie à plus de 1 Millions de rwandais (tutsi,hutus,twa) ainsi que la déstabilisation périodique de la RDC 🇨🇩(Génocide hutus plus le Genocost). C'est le prix du TRÔNE de KAGAME.
ÉVOCATION DE LA MÉMOIRE DU GÉNÉRAL MAJOR JUVENAL HABYARIMANA EN CES DERNIERS JOURS.
Son Fils JEAN LUC HABYARIMANA.
Il y a 31 ans, le 03/04/1994, mon père, Juvénal #Habyarimana, et moi passions les derniers moments seuls entre père et fils. A 18 ans, j’étais loin de me douter que je passais mes derniers instants seul avec lui.
Pour recontextualiser les choses, les accords de paix d’Arusha venaient d’être signés en août 1993. Suite à la préssion de plusieurs pays occidentaux, ces accords octroyaient 50% de l’armée ainsi que du gouvernement et du parlement au FPR. La période de transition prévue par les accords devait aboutir à des élections générales. Or, les atrocités que le FPR commettait depuis 1990, laissaient présager que ce dernier n’avait aucune chance de gagner les élections.
En effet, après sa défaite du 30/10/1990, face à l’armée rwandaise (ex-FAR) appuyée par l’armée de l’ex-Zaïre (actuel RDC) envoyé en soutien au peuple frère agressé, le FPR a changé de stratégie et s’est réorganisé en guerilla. Une de leur strategie a été de massacrer des milliers de paysans innocents et ainsi vider les zones sous leur contrôle, jusqu’à ce qu’on arrive à plus de 1 million de déplacés fuyant le FPR, rendant ainsi la situation d’autant plus explosive dans le pays.
Notre père qui tenait absolument à ce que ses enfants effectuent les 2 premiers cycles d’études dans des écoles publiques rwandaises, avait fini par nous envoyer, ma sœur et moi, étudier en Égypte en 1993 après avoir été informés par plusieurs services de sécurité étrangers sur l’intention du FPR de nous enlever pour faire préssion sur lui. C’est dans ce contexte qu’en arrivant au Rwanda pour les vacances de Pâques 1994, nous avons trouvé des habitudes complètement changés. Nous qui avions l’habitude d’aller à l’école ou rendre visite à des amis avec juste un chauffeur, nous retrouvions désormais contraint de nous déplacer avec plusieurs gardes du corps chacun, donnant notre destination préalablement pour l’envoi d’une équipe d’avance.
Ces mesures sécuritaire contraignantes ne rendaient malheureusement plus nos sorties agréables, ce qui nous poussait à rester plutôt à notre résidence privée de Kanombe. C’est alors que ce 03/04/1994 nous sommes partis pour un cours séjour à Gisenyi avec nos parents.
Ma mère, ma sœur et nos cousins ont pris la route en premier avec un convoi conséquent pour les raisons de sécurité. Mon père et moi avons ensuite pris la route à notre tour avec son escorte. Nous étions juste deux dans la voiture durant ces 3 heures de trajet, lui au volant, moi en fidèle accompagnateur, friand des conversations avec ce père aimant mais dont les occasions de passer des moments privilégiés avec nous devenaient rares à cause de la situation d’alors.
Nous avons alors eu des conversations entre un père dont la joie d’avoir une autre occasion de transmettre ses valeurs se lisait sur le visage, et un fils qui avait cette soif permanente d’apprendre de son modèle de père. Une grande partie de nos échanges ce jour-là m’anime encore aujourd’hui.
Arrivés à Gisenyi, nous avons retrouvé ma mère, ma sœur et mes cousins qui nous avaient précédé, et nous sommes alors rendus chez des amis de nos parents qui avaient organisé un déjeuner en présence d’autres amis. Avait également été convié le représentant personnel du SG de l’ONU et chef de la MINUAR, le diplomate camerounais Jacques-Roger Booh-Booh.
Au cours de ce déjeuner, M. Booh-Booh fera une confidence à mon père dans ces termes : « M. le président, Paul Kagame m’a dit qu’il va vous éliminer physiquement ».
Cette confidence faite par le patron de la mission de l’ONU chargée de ramener la paix à l’adresse du président qui a assuré la plus longue période de paix que le Rwanda n’ait jamais connu était pour moi la première preuve que Kagame est un véritable homme de terreur et de désolation.
Jean-Luc H.
L'ASSASSINAT DE DEUX PRÉSIDENTS DONT PERSONNE NE SE SOUCIE 31 ANS DÉJÀ
CE JOUR-LA... 6 avril 1994, pendant que l'Afrique entier est concentré sur le match de la CAN 1994 Zambie 4-0 Mali . Un drame, parmi les plus terribles du 20è siècle, se produit : les Président Habyarimana (Rwanda) et Ntaryamira (Burundi) sont assassinés au cours d'un attentat mystère. Leur avion est visé par deux missile sol-air durant sa phase d'atterrissage à Kigali et tombe dans le jardin de la résidence présidentielle de KANOBE où se trouvaient la femme et les enfants du président Rwandais au moment du crache (scène filmer par un des fils du président Habyarimana). Dès lors la région des grands lacs vas commencer à vivre sa période la plus sombre sans discontinueter (du 06 Avril 1994 à 20h30min jusqu'à aujourd'hui) après la colonisation.
Tuer sur le chemin de retour.
Habyarimana et Ntaryamira revenaient d’une rencontre régionale qui s’était tenue en Tanzanie (sommet retardé par l'Ouganda), Ce 6Avril94 fut le jour où je devenais orphelin de père, de la pire manière que l’adolescent de 18 ans que j’étais ne pouvait imaginer.
Ce jour-là mon père s’est rendu tôt le matin à Dar es Salam en Tanzanie, pour un sommet sur la paix au Burundi. Sur les coups de 20h30, mes cousins Aimé et Eric et moi-même sortions de piscine quand nous avons entendu le bruit de l’avion qui amorçait son atterrissage pour le retour. Notre résidence privée de #Kanombe se trouvant dans l’axe de la piste de l’aéroport, l’avion s’apprêtait à passer au dessus de nous. Nous avons alors aperçu le Falcon 50 de la présidence du Rwanda par ses lumières à travers les arbres de notre jardin.
Soudain, nous avons vu une grosse trace lumineuse qui partait de la colline voisine de #Masaka, au Sud-est de notre résidence, et une forte détonation s’en suivit. L’avion mis alors les pleins gaz et changea de trajectoire.En une fraction de seconde, un autre projectile lumineux parti quasi du même endroit que le premier, et cette fois-ci l’avion fut touché et pris feu.
Tout de suite après, il explosa en plein ciel, et les débris en feu s’échouèrent dans notre jardin. Plus tard, mes deux cousins me diront que je me suis écrié en appelant Papa.
C’est ainsi que j’ai vu mon père nous être arraché atrocement de mes propres yeux. Avec des militaires de la garde nous avons alors commencé à chercher les corps. Au sol, nous trouvions éparpillés des morceaux de chair humaine, certains encore brûlants. L’odeur du kérosène qui se mélangeait à celle de chair humaine qui se consumait était insupportable.
C’était une scène d’horreur. J’ai mis plusieurs années pour que ma mémoire olfactive s’en détache. C’est dans ces circonstances que nous avons trouvé les premiers corps, jamais entiers, sans possibilité de les identifier. Soudain, à la lueur d’une lampe torche, un soldat s’écria « le Général ! »
Nous nous sommes alors tous précipités et avons trouvé le corps de mon père allongé dans une plante fleurie de son propre jardin. J’étais comme anesthésié par cette scène d’horreur où je voyais le corps de mon père inerte, et autour de moi les militaires de la garde se sont tous mis à lui donner un salut d’adieu, certains en sanglot et d’autres complètement perdus. C’est alors qu’une conscience que je ne m’explique encore aujourd’hui m’a emmené à prendre un appareil photo pour immortaliser ce que nous vivions.
C’est ainsi que j’ai pris la seule photo du corps de mon père et toutes les photos des autres corps et des morceaux de la carlingue de l’avion. De tous les corps, celui de mon père était le seul à pouvoir être reconnaissable par le visage. Pour les autres corps, il a fallu chercher les pièces d’identité dans leurs vestes, ou, comme ce fut le cas pour le président #Ntaryamira du #Burundi, demander à la famille la couleur du costume ou de la cravate.
Je suis alors retourné à l’intérieur de la maison retrouver ma mère qui priait dans la chapelle avec mes deux sœurs et mes cousines, et je lui ai dit que nous venions de trouver le corps de Papa.Mes cousins, les militaires et moi avons alors transporté tous les corps dans la chapelle ardente que ma mère et les filles venait de dresser dans le séjour principal de notre maison. Mon père placé au centre, son jeune frère et homologue burundais à ses côtés, et leurs compagnons d’infortune avec eux.
Ce jour-là, onze autres familles rwandaises, burundaises et françaises, devenaient orphelines comme nous. Au delà de cette considération personnelle, cet attentat fut le déclencheur de la pire tragédie que l’humanité ait connu dans le 20ème siècle, et les conséquences se font encore sentir aujourd’hui avec la désolation que fait subir le pouvoir de KAGAME au peuple congolais.
A bord du Falcon 50 de la Présidence du Rwanda se trouvent également, en plus des 2 Chefs d'Etats : (a) côté rwandais: le général-major Déogratias Nsabimana(chef d'état major des FAR), l’ambassadeur Juvénal Renzaho, le colonel Elie Sagatwa, le docteur Emmanuel Akingeneye, le major Thaddée Bagaragaza.
Du côté burundais : le secrétaire à la présidence Bernard Ciza et le ministre Cyriaque Simbizi.
Enfin,l'équipage de l'avion était constitué des français : le colonel Jean-Pierre Minaberry, le major Jack Héraud et le sergent-major Jean-Marie Perrine. Tous périrent .
LE PRÉSIDENT HABYARIMANA ET SES COMPAGNONS D'INFORTUNE ONT ÉTÉ CETTE NUIT-LÀ LES PREMIÈRES VICTIMES DU GÉNOCIDE DES ''TUTSI''
Bien que contradictoire avec l'appellation Génocide des ''TUTSIS '' car lui , le président NTARYAMIRA et leurs collaborateurs étaient tous des HUTUS plus l'équipage de la Falcon 50 présidentielle tous français ont été belle et bien malheureusement les premières victimes du GÉNOCIDE RWANDAIS aujourd'hui debatiser Génocide des ''TUTSIS '' pour dédouaner la participation du plus grand belligérants de cette tragédie Rwandaise (la rébellion du FPR auteur de l'attentat du 06 Avril 1994) qui dirige le pays depuis juillet 1994 prolongeant le système du parti unique pourtant abolies par la constitution du 26 Mars 1991 par le président HABYARIMANA (le FPR est au pouvoir depuis 31ans pourtant cette rébellion soutenu par l'armée ougandaise disait se battre pour la démocratie).
En effet, dans l'heure qui suivait l'attentat, les tueries commençaient : d'abord, des hommes politiques modérés Hutus et tutsis, des opposants, des journalistes. Puis de simples citoyens, majoritairement Tutsis, femmes et hommes, vieillards et nourrissons.
Cette barbarie génocidaire se déroule de façon bien coordonnées par les miliciens INTERAHAMWE (une milice conçue idéologiquement à KAMPALA) dont le président fondateur était un jeune TUTSIS KAJUGA ROBERT très proche de la famille de KAKUTA MUSEVENI ( son père était un pasteur de l'église Anglicane amis intime de Amos KAKUTA le père de l'actuel président Ougandais et museveni venait souvent passer les vacances chez eux au Rwanda, le frère ainé JEAN HUSS KAJUGA ''de Robert kajuga'' était proche de Paul kagame . Mais aussi et surtout, il à même été l'amant de l'actuel première dame Rwandais. Leurs grands frères Wesley KAJUGA à fréquenter la même école que Paul kagame ; NTARE-SCHOOL) les INTERAHAMWE étaient soutenu par le contingent du FPR des '' TECHNICIENS'' dont le rôle étaient de localiser et éliminer les dirigeants HUTUS et TUTSIS modérés (c'est-à-dire qui luttent pour l'application stricte et effective des accords de Paix d'Arusha) d'inciter les jeunes rwandais à massacrer les citoyens Rwandais TUTSI dans des barrières improvisés, puis de lancer des grenades dans des lieux publics pour déstabiliser le pouvoir intérimaire et créé le chao dans le pays afin de justifier les assauts du FPR foulant au pied l'accord d'Arusha. Le FPR sous couvert du M23 continue de faire appliquer cette méthode de terreur à l'Est de la RDC pour sabotter impunément les multiples cessez-le-feu et faisant échouer le processus de Nairobi et Luanda. Aujourd'hui le frère Cadet du président des INTERAHAMWE , Wycliff KAJUGA travaille à la présidence du Rwanda, les membres des INTERAHAMWE ont été intégrés dans l'armée rwandaise et le Rwanda ne parle jamais des dirigeants des INTERAHAMWE préférons qualifier tout citoyen HUTUS d'être un INTERAHAMWE génocidaire surtout tout ceux qui ont travaillé dans l'administration de l'ancien président HABYARIMANA.
NB: WESLEY KAJUGA vie en Amérique et y gère tout les avoirs de Paul KAGAME.
En moins de trois mois, le 3ème génocide du Siècle allait faire près de 1 million de victimes, dans un pays où la population était alors estimée à un peu plus de 7 millions de personnes. Le FPR avait lui-même écrit au conseil de sécurité de l'ONU lui interdisant d'intervenir au Rwanda pendant les 3 mois de massacres en disant qu'il contrôlait totalement la situation et qu'il avait mis fin à tout les massacres qui ont suivi à la suite de L'ASSASSINAT du PRÉSIDENT HABYARIMANA. Après avoir fait couler le sang des innocents au Rwanda l'armée rwandaise et Ougandaise ont récidivé ont exécutant lâchement les réfugiés rwandais HUTUS dans les camps des réfugiés au Zaïre l'actuelle CONGO 🇨🇩 le GÉNOCIDE HUTUS documenter dans le rapport ROBERT GUERSONY ainsi que le rapport MAPPING puis se sont fait la guerre pour contrôler les territoires RD-CONGOLAIS riche en minéraux rares 3T (la guerre des 6 jours à KISANGANI) c'est donc le GENOCOST.
Le "Bataillon 600"
ce bataillon 600 a été le cheval de troie pour l'introduction des missiles sol-air ayant abattu la Falcon transportant Habyarimana et son homologue burundais Cyprien Ntaryamira
Lorsque l'avion du Président Juvénal Habyarimana est abattu le 6 avril 1994, la présence à Kigali du "Bataillon 600" a certainement changé le cours des événements qui se sont succédé à partir du 7 avril 1994. Il sied de signaler que prévu par les accords d'Arusha ce bataillon qui ne devrait compté que 600 éléments comis à la garde des dirigeants politiques du FPR designer pour intégrer les instances transitoire du Rwanda en attendant l'organisation des élections comptaient plus de 600 hommes qui se sont infiltrés dans la ville de Kigali les fameux '' TECHNICIENS '' qui sont responsables de la monté de haine ethnique entre TUTSI et HUTUS.
En effet, ce bataillon est donc la première opération de BRASSAGE MIXAGE de la région des grands lacs qui a fragilisé l'appareil sécuritaire du pouvoir d'Habyarimana ce bataillon du FPR opéraient dans des zones sous emprise des INTERAHAMWE (dont tout le comité directeur étaient des jeunes tutsi membres du FPR commentant des Crim au nom du MRND pour renforcer la haine interethnique afin de justifier l'intervention du FPR venons ''sauver les TUTSI '' vous comprendrez que c'est la même méthode que procède le M23 pour justifier sa barbarie)
Le 28 décembre 1993, c'est à partir de MURINDA (à la frontière entre le Rwanda et l'Ouganda) que ce bataillon composé de 600 éléments du FPR fait son entrée, encadré par la Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda (MINUAR). Ce bataillon sera déployé dans la capitale, Kigali, puis cantonné dans les locaux du Conseil National du Développement (CND). Le "Bataillon 600" était dirigé par le Lieutenant Colonel Charles Kayonga (devenu Général plus tard).
Mais ce 6 avril 1994, l’avion du Président Juvénal Habyarimana est abattu et le génocide commence dans les heures qui suivent. Le "Bataillon 600" qui désormais comptait plus de 1300 hommes s'engageaient immédiatement dans les combats contre les Forces Armées Rwandaises (FAR) dès le 7 avril, avant qu'ils ne soient épaulés, à partir du 11 avril, par 3 autres bataillons du FPR qui arriveront en renfort dans la capitale, en provenance du nord du pays.
DEUX JOURS PLUTÔT
Le 4 avril 1994, Habyarimana fait une visite surprise au Zaïre pour voir celui qu’il appelle : « grand frère ». Effectivement, la visite du président Habyarimana avait surpris tout le monde y compris les services de sécurité et protocole. Rien pratiquement n’avait été prévu pour son accueil au Zaïre le 4 avril 1994, » avoue Ngbanda.
Il présentera son problème en quatre points :
1. Le projet d’un coup d’État constitutionnel contre lui. Il dit : « Herman Cohen avait décidé de faire d’Arusha la bataille des Américains pour arracher le pouvoir des mains de Habyarimana et le transférer au FPR de Kagame sans recourir aux élections démocratiques. » Pour appuyer son argument, Habyarimana évoque les élections communales de 1993. « Le FPR a été battu à plate couture dans les zones démilitarisés pourtant sous son contrôle de cette rébellion. Ce test a été éloquent et il a dû servir de leçon aux protecteurs de Kagame » dit-il.
2. La pression et des menaces extérieures.
Il dit : « Les Américains et les Belges ont organisé une très vaste campagne secrète de débauchage de mes collaborateurs, et des leaders hutu des partis politiques de l’opposition pour les pousser à rallier le FPR et masquer ainsi le conflit ethnique hutu-tutsi qui oppose mon parti, le MRND au FPR. » L’objectif : « fausser le jeu de la transition et donner le pouvoir à mon rival principal parce qu’ils savent qu’il n’a aucune chance de gagner des élections pluralistes et démocratiques. »
3. La planification de son assassinat.
« Ils continue et révèle au président MOBUTU ; Ils ont le contrôle de l’aéroport et ils disposent de missiles sol-air pour l’exécution de leur plan. Je suis devenu prisonnier dans mon propre pays. Je ne peux décoller et revenir qu’à l’improviste pour qu’ils n’aient pas le temps de préparer leur coup. Voilà pourquoi je ne vous ai pas prévenus de ma visite comme je le fais d’habitude. »
Mobutu réagit : « Ils ne vont quand même pas oser toucher aux pilotes français ! »
Son homologue, agité, répond : « La guerre est déclarée contre nous et les Français. Les Américains m’ont dit que cette fois, je ne devrais plus compter ni sur Mobutu, ni sur les Français comme en 1990. Cette fois, m’ont-ils dit, ce n’est pas du jeu! » Il enchaîne : « J’ai la conviction qu’ils veulent régler leurs comptes aux Français au travers de nous deux. »
4 Révélation de son informateur de MURINDA (quartier général de Kagame)
Il m’a dit que la décision de mon assassinat est prise. Le plan d’exécution est en cours; et ce n’est qu’une question de jour. Il a été décidé de fermer l’une des deux pistes de l’aéroport de Kanombe, pour n’en garder qu’une seule. C’est pour faciliter le positionnement des tireurs d’élite chargés d’abattre mon avion. Il s’agit de la piste 10 avec atterrissage (ce sont les Belges qui tenaient l’aéroport)
Avec des mains qui tremblent, Habyarimana disait : « Je suis certain que l’exécution de leur plan est proche. Tous les signaux sont là.>>
NB: En cette année là, la Belgique à livrer à la rébellion du FPR de Paul KAGAME, les armes qu'avait commandé le gouvernement rwandais (les FAR) pourtant payer par le régime d'Habyarimana. Aujourd'hui kagame et son gouvernement passe le clair de leurs temps à insulté la Belgique ( la Belgique d'où est née sa fille Ange kagame le 08 septembre 1993 pendant que le FPR assassinaient les nouveaux nées HUTUS au Rwanda dans les zones contrôlé par ses hommes.
La stratégie machiavélique de Paul Kagame.
Il sait que dans les conditions normales, il ne gagnera jamais les élections libres, démocratiques et transparentes. Il n’a que deux alternatives pour conquérir le pouvoir.
– Accords de Arusha
– Violence
« La stratégie de Kagame est plutôt démoniaque : il manipule les extrémistes hutu pour les dresser contre moi. Il sait très bien que son intransigeance et son arrogance surexcitent les extrémistes hutu qui ne demandent pas mieux que d’en découdre avec les Tutsi. On dirait qu’il ne se soucie nullement du sort de ses frères tutsi qui sont tres nombreux ici. »
Rappelons que pour les extrémistes hutu Habyarimana était trop laxiste vis-à-vis de la rébellion TUTSIS.
Il l’avoue à MOBUTU : « Ils m’accusent de vouloir trahir mon peuple en jouant le jeu des Américains pour sauver ma peau et sacrifier le peuple hutu à la vengeance des Tutsi chassés de leur terre et du pouvoir par la voie de la démocratie en 1962.
Enchaînons!
Habyarimana dresse trois catégories d’ennemis:
1)Des collaborateurs du parti, de l’armée et des services de renseignement parmi lesquelles plusieurs ont été débauché sous la pression.
2) Les médias internationaux et leurs gouvernements. EX: Les États-Unis, la Belgique
3) Les Etats voisins alliés des occidentaux et des régimes régionaux. Ex : Museveni, Nyerere.
Le 5 avril 1994, Mobutu est dissuadé de voyager en Tanzanie où il aurait accompagné son homologue rwandais.
L’un de ses informateurs au nom de François de Grossouvre perdra sa vie le 7 avril.
Mobutu dit:«J’ai eu plus de 5 coups de fil de Habyarimana qui veut se rassurer que nous serons à ses côtés demain à Dar-Es-Salaam. Il m’a demandé si, à notre retour, nous pourrions le ramener avec notre avion et le déposer chez lui à Kigali. Il est réellement paniqué, le pauvre.»
Pourtant la veille une femme TUTSIS travaillons pour le compte des renseignements du FPR m'a dissuader de prendre le même avions que mon homologue HABYARIMANA car le FPR avait décidé d'abattre son avions pour l'éliminer physiquement grâce à l'aide des Amériques qui ont déjà fourni les missiles. Cliquez sur ce lien👇👇👇👇
En somme, tout le monde savaient que le président HABYARIMANA allait être assassiné par KAGAME grâce à l'aide du conglomérat anglo-saxons (USA-UK) et comment ! Mais ils ignoraient juste le jour et l'heure. Car le FPR n'avait aucune chance de gagner les élections.
Le 6 avril 1994 marque un tournant tragique dans l’histoire du Rwanda. L’attentat contre l’avion présidentiel a été le déclencheur d’un génocide aux conséquences humaines incommensurables. Des voix s’élèvent aujourd’hui pour exiger une enquête internationale indépendante sur cet événement. Des témoins accusent Paul Kagame et le FPR d’avoir orchestré l’attentat pour prendre le pouvoir. La veuve du président Habyarimana, pourtant acquittée par le TPIR, est à nouveau visée par la justice française. Cette procédure judiciaire soulève des interrogations sur l’indépendance de la justice face aux pressions diplomatiques. La vérité sur cet attentat reste enfouie sous des décennies de silence et de manipulation. Il est temps que justice soit rendue aux victimes de toutes les communautés.
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