L'ASSASSINAT DU PRESIDENT HABYARIMANA EST L'ACTE DECLANCHEUR DU GENOCIDE DES ''TUTSI''

LE FPR A ASSASSINÉ LE PRÉSIDENT HABYARIMANA POUR CONQUÉRIR LE POUVOIR 

 


Les Présidents Juvénal Habyarimana a été assassiné le 6 avril 1994, à 20h30min, heure de Kigali, et le GÉNOCIDE RWANDAIS a commencé immédiatement soient  juste 10h après l'attentat CRIMINEL contre la Falcon-50 présidentielle la nuit du 06 Avril 1994. Un évènement que n'évoque jamais le pouvoir actuel à Kigali dont personne au sein de la communauté internationale chapeauté par les USA ne souhaite aborder car tous complices (la boîte de Pandore).

Ça fait 31 ans que PaulKagame exploite le Génocide pour rançonner ceux qui lui ont donné l'ordre d'éliminer physiquement le président HABYARIMANA, sauf que cela a coûté la vie à deux chefs d'État, leurs proches collaborateurs  et l'équipage français à bord. Mais encore et surtout cela à permis d'activité le plan de conquête du pouvoir du FPR coûtant la vie à plus de 1 Millions de rwandais (tutsi,hutus,twa) ainsi que la déstabilisation périodique de la RDC 🇨🇩(Génocide hutus plus le Genocost). C'est le prix du TRÔNE de KAGAME.




ÉVOCATION DE LA MÉMOIRE DU GÉNÉRAL MAJOR JUVENAL HABYARIMANA EN CES DERNIERS JOURS.


Son Fils  JEAN LUC HABYARIMANA.


Il y a 31 ans, le 03/04/1994, mon père, Juvénal #Habyarimana, et moi passions les derniers moments seuls entre père et fils. A 18 ans, j’étais loin de me douter que je passais mes derniers instants seul avec lui.


Pour recontextualiser les choses, les accords de paix d’Arusha venaient d’être signés en août 1993. Suite à la préssion de plusieurs pays occidentaux, ces accords octroyaient 50% de l’armée ainsi que du gouvernement et du parlement au FPR. La période de transition prévue par les accords devait aboutir à des élections générales. Or, les atrocités que le FPR commettait depuis 1990, laissaient présager  que ce dernier n’avait aucune chance de gagner les élections.


En effet, après sa défaite du 30/10/1990, face à l’armée rwandaise (ex-FAR) appuyée par l’armée de l’ex-Zaïre (actuel RDC) envoyé en soutien au peuple frère agressé, le FPR a changé de stratégie et s’est réorganisé en guerilla. Une de leur strategie a été de massacrer des milliers de paysans innocents et ainsi vider les zones sous leur contrôle, jusqu’à ce qu’on arrive à plus de 1 million de déplacés fuyant le FPR, rendant ainsi la situation d’autant plus explosive dans le pays.  


Notre père qui tenait absolument à ce que ses enfants effectuent les 2 premiers cycles d’études dans des écoles publiques rwandaises, avait fini par nous envoyer, ma sœur et moi, étudier en Égypte en 1993 après avoir été informés par plusieurs services de sécurité étrangers sur l’intention du FPR de nous enlever pour faire préssion sur lui. C’est dans ce contexte qu’en arrivant au Rwanda pour les vacances de Pâques 1994, nous avons trouvé des habitudes complètement changés. Nous qui avions l’habitude d’aller à l’école ou rendre visite à des amis avec juste un chauffeur, nous retrouvions désormais contraint de nous déplacer avec plusieurs gardes du corps chacun, donnant notre destination préalablement pour l’envoi d’une équipe d’avance.


Ces mesures sécuritaire contraignantes ne rendaient malheureusement plus nos sorties agréables, ce qui nous poussait à rester plutôt à notre résidence privée de Kanombe. C’est alors que ce 03/04/1994 nous sommes partis pour un cours séjour à Gisenyi avec nos parents.

Ma mère, ma sœur et nos cousins ont pris la route en premier avec un convoi conséquent pour les raisons de sécurité. Mon père et moi avons ensuite pris la route à notre tour avec son escorte. Nous étions juste deux dans la voiture durant ces 3 heures de trajet, lui au volant, moi en fidèle accompagnateur, friand des conversations avec ce père aimant mais dont les occasions de passer des moments privilégiés avec nous devenaient rares à cause de la situation d’alors.


Nous avons alors eu des conversations entre un père dont la joie d’avoir une autre occasion de transmettre ses valeurs se lisait sur le visage, et un fils qui avait cette soif permanente d’apprendre de son modèle de père. Une grande partie de nos échanges ce jour-là m’anime encore aujourd’hui.


Arrivés à Gisenyi, nous avons retrouvé ma mère, ma sœur et mes cousins qui nous avaient précédé, et nous sommes alors rendus chez des amis de nos parents qui avaient organisé un déjeuner en présence d’autres amis. Avait également été convié le représentant personnel du SG de l’ONU et chef de la MINUAR, le diplomate camerounais Jacques-Roger Booh-Booh.


Au cours de ce déjeuner, M. Booh-Booh fera une confidence à mon père dans ces termes : « M. le président, Paul Kagame m’a dit qu’il va vous éliminer physiquement ». 


Cette confidence faite par le patron de la mission de l’ONU chargée de ramener la paix à l’adresse du président qui a assuré la plus longue période de paix que le Rwanda n’ait jamais connu était pour moi la première preuve que Kagame est un véritable homme de terreur et de désolation. 




Jean-Luc H.

L'ASSASSINAT DE DEUX PRÉSIDENTS DONT PERSONNE NE SE SOUCIE 31 ANS DÉJÀ 


           CE JOUR-LA... 6 avril 1994, pendant que l'Afrique entier est concentré sur le match de la  CAN 1994  Zambie 4-0 Mali . Un drame, parmi les plus terribles du 20è siècle, se produit : les Président Habyarimana (Rwanda) et Ntaryamira (Burundi) sont assassinés au cours d'un attentat mystère. Leur avion est visé par deux missile sol-air durant sa phase d'atterrissage à Kigali et tombe dans le jardin de la résidence présidentielle de KANOBE où se trouvaient la femme et les enfants du président Rwandais au moment du crache (scène filmer par un des fils du président Habyarimana). Dès lors la région des grands lacs vas commencer à vivre sa période la plus sombre sans discontinueter (du 06 Avril 1994 à 20h30min jusqu'à aujourd'hui) après la colonisation. 

Tuer sur le chemin de retour.

Habyarimana et Ntaryamira revenaient d’une rencontre régionale qui s’était tenue en Tanzanie (sommet retardé par l'Ouganda), Ce 6Avril94 fut le jour où je devenais orphelin de père, de la pire manière que l’adolescent de 18 ans que j’étais ne pouvait imaginer.





Ce jour-là mon père s’est rendu tôt le matin à Dar es Salam en Tanzanie, pour un sommet sur la paix au Burundi. Sur les coups de 20h30, mes cousins Aimé et Eric et moi-même sortions de piscine quand nous avons entendu le bruit de l’avion qui amorçait son atterrissage pour le retour. Notre résidence privée de #Kanombe se trouvant dans l’axe de la piste de l’aéroport, l’avion s’apprêtait à passer au dessus de nous. Nous avons alors aperçu le Falcon 50 de la présidence du Rwanda par ses lumières à travers les arbres de notre jardin.


Soudain, nous avons vu une grosse trace lumineuse qui partait de la colline voisine de #Masaka, au Sud-est de notre résidence, et une forte détonation s’en suivit. L’avion mis alors les pleins gaz et changea de trajectoire.En une fraction de seconde, un autre projectile lumineux parti quasi du même endroit que le premier, et cette fois-ci l’avion fut touché et pris feu.

Tout de suite après, il explosa en plein ciel, et les débris en feu s’échouèrent dans notre jardin. Plus tard, mes deux cousins me diront que je me suis écrié en appelant Papa.


C’est ainsi que j’ai vu mon père nous être arraché atrocement de mes propres yeux. Avec des militaires de la garde nous avons alors commencé à chercher les corps. Au sol, nous trouvions éparpillés des morceaux de chair humaine, certains encore brûlants. L’odeur du kérosène qui se mélangeait à celle de chair humaine qui se consumait était insupportable.

C’était une scène d’horreur. J’ai mis plusieurs années pour que ma mémoire olfactive s’en détache. C’est dans ces circonstances que nous avons trouvé les premiers corps, jamais entiers, sans possibilité de les identifier. Soudain, à la lueur d’une lampe torche, un soldat s’écria « le Général ! »

Nous nous sommes alors tous précipités et avons trouvé le corps de mon père allongé dans une plante fleurie de son propre jardin. J’étais comme anesthésié par cette scène d’horreur où je voyais le corps de mon père inerte, et autour de moi les militaires de la garde se sont tous mis à lui donner un salut d’adieu, certains en sanglot et d’autres complètement perdus. C’est alors qu’une conscience que je ne m’explique encore aujourd’hui m’a emmené à prendre un appareil photo pour immortaliser ce que nous vivions.

C’est ainsi que j’ai pris la seule photo du corps de mon père et toutes les photos des autres corps et des morceaux de la carlingue de l’avion. De tous les corps, celui de mon père était le seul à pouvoir être reconnaissable par le visage. Pour les autres corps, il a fallu chercher les pièces d’identité dans leurs vestes, ou, comme ce fut le cas pour le président #Ntaryamira du #Burundi, demander à la famille la couleur du costume ou de la cravate.


Je suis alors retourné à l’intérieur de la maison retrouver ma mère qui priait dans la chapelle avec mes deux sœurs et mes cousines, et je lui ai dit que nous venions de trouver le corps de Papa.Mes cousins, les militaires et moi avons alors transporté tous les corps dans la chapelle ardente que ma mère et les filles venait de dresser dans le séjour principal de notre maison. Mon père placé au centre, son jeune frère et homologue burundais à ses côtés, et leurs compagnons d’infortune avec eux.


Ce jour-là, onze autres familles rwandaises, burundaises et françaises, devenaient orphelines comme nous. Au delà de cette considération personnelle, cet attentat fut le déclencheur de la pire tragédie que l’humanité ait connu dans le 20ème siècle, et les conséquences se font encore sentir aujourd’hui avec la désolation que fait subir le pouvoir de KAGAME au peuple congolais.





      A bord du Falcon 50 de la Présidence du Rwanda se trouvent également, en plus des 2 Chefs d'Etats : (a) côté rwandais: le général-major Déogratias Nsabimana(chef d'état major des FAR), l’ambassadeur Juvénal Renzaho, le colonel Elie Sagatwa, le docteur Emmanuel Akingeneye, le major Thaddée Bagaragaza.

        Du côté burundais : le secrétaire à la présidence Bernard Ciza et le ministre Cyriaque Simbizi. 

Enfin,l'équipage de l'avion était constitué des français : le colonel Jean-Pierre Minaberry, le major Jack Héraud et le sergent-major Jean-Marie Perrine. Tous périrent . 

LE PRÉSIDENT HABYARIMANA ET SES COMPAGNONS D'INFORTUNE ONT ÉTÉ CETTE NUIT-LÀ LES PREMIÈRES VICTIMES DU GÉNOCIDE DES ''TUTSI'' 



       Bien que contradictoire avec l'appellation Génocide des ''TUTSIS '' car lui , le président NTARYAMIRA et leurs collaborateurs étaient tous des HUTUS plus l'équipage de la Falcon 50 présidentielle tous français ont été belle et bien malheureusement les premières victimes du GÉNOCIDE RWANDAIS aujourd'hui debatiser Génocide des ''TUTSIS '' pour dédouaner la participation du plus grand belligérants de cette tragédie Rwandaise (la rébellion du FPR auteur de l'attentat du 06 Avril 1994) qui dirige le pays depuis juillet 1994 prolongeant le système du parti unique pourtant abolies par la constitution du 26 Mars 1991 par le président HABYARIMANA (le FPR est au pouvoir depuis 31ans pourtant cette rébellion soutenu par l'armée ougandaise disait se battre pour la démocratie).

     En effet, dans l'heure qui suivait l'attentat, les tueries commençaient : d'abord, des hommes politiques modérés Hutus et tutsis, des opposants, des journalistes. Puis de simples citoyens, majoritairement Tutsis, femmes et hommes, vieillards et nourrissons. 






Cette barbarie génocidaire se déroule de façon bien coordonnées par les miliciens INTERAHAMWE (une milice conçue idéologiquement à KAMPALA) dont le président fondateur était un jeune TUTSIS KAJUGA ROBERT très proche de la famille de KAKUTA MUSEVENI ( son père était un pasteur de l'église Anglicane amis intime de Amos KAKUTA le père de l'actuel président Ougandais et museveni venait souvent passer les vacances chez eux au Rwanda, le frère ainé JEAN HUSS KAJUGA ''de Robert kajuga'' était  proche de Paul kagame . Mais aussi et surtout, il à même été l'amant de l'actuel première dame Rwandais. Leurs grands frères Wesley KAJUGA à fréquenter la même école que Paul kagame ;  NTARE-SCHOOL) les INTERAHAMWE étaient soutenu par le contingent du FPR des '' TECHNICIENS'' dont le rôle étaient de localiser et éliminer les dirigeants HUTUS et TUTSIS modérés (c'est-à-dire qui luttent pour l'application stricte et effective des accords de Paix d'Arusha) d'inciter les jeunes rwandais à massacrer les citoyens Rwandais TUTSI dans des barrières improvisés, puis de lancer des grenades dans des lieux publics pour déstabiliser le pouvoir intérimaire et créé le chao dans le pays afin de justifier les assauts du FPR foulant au pied l'accord d'Arusha. Le FPR sous couvert du M23 continue de faire appliquer cette méthode de terreur à l'Est de la RDC pour sabotter impunément les multiples cessez-le-feu et  faisant  échouer le processus de Nairobi et Luanda. Aujourd'hui le frère Cadet du président des INTERAHAMWE , Wycliff KAJUGA travaille à la présidence du Rwanda, les membres des INTERAHAMWE ont été intégrés dans l'armée rwandaise et le Rwanda ne parle jamais des dirigeants des INTERAHAMWE préférons qualifier tout citoyen HUTUS d'être un INTERAHAMWE génocidaire surtout tout ceux qui ont travaillé dans l'administration de l'ancien président HABYARIMANA.

NB: WESLEY KAJUGA vie en Amérique et y gère tout les avoirs de Paul KAGAME.



         En moins de trois mois, le 3ème génocide du Siècle allait faire près de 1 million de victimes, dans un pays où la population était alors estimée à un peu plus de 7 millions de personnes. Le FPR avait lui-même écrit au conseil de sécurité de l'ONU lui interdisant d'intervenir au Rwanda pendant les 3 mois de massacres en disant qu'il contrôlait totalement la situation et qu'il avait mis fin à tout les massacres qui ont suivi à la suite de L'ASSASSINAT du PRÉSIDENT HABYARIMANA. Après avoir fait couler le sang des innocents au Rwanda l'armée rwandaise et Ougandaise ont récidivé ont exécutant lâchement les réfugiés rwandais HUTUS dans les camps des réfugiés au Zaïre l'actuelle CONGO 🇨🇩 le GÉNOCIDE HUTUS documenter dans le rapport ROBERT GUERSONY ainsi que le rapport MAPPING puis se sont fait la guerre pour contrôler les territoires RD-CONGOLAIS riche en minéraux rares 3T (la guerre des 6 jours à KISANGANI) c'est donc le GENOCOST.





Le "Bataillon 600"



ce bataillon 600 a été le cheval de troie pour l'introduction des missiles sol-air ayant abattu la Falcon transportant Habyarimana et son homologue burundais Cyprien Ntaryamira 

               Lorsque l'avion du Président Juvénal Habyarimana est abattu le 6 avril 1994, la présence à Kigali du "Bataillon 600" a certainement changé le cours des événements qui se sont succédé à partir du 7 avril 1994. Il sied de signaler que prévu par les accords d'Arusha ce bataillon qui ne devrait compté que 600 éléments comis à la garde des dirigeants politiques du FPR designer pour intégrer les instances transitoire du Rwanda en attendant l'organisation des élections comptaient plus de 600 hommes qui se sont infiltrés dans la ville de Kigali les fameux '' TECHNICIENS '' qui sont responsables de la monté de haine ethnique entre TUTSI et HUTUS.




   En effet, ce bataillon est donc la première opération de BRASSAGE MIXAGE de la région des grands lacs qui a fragilisé l'appareil sécuritaire du pouvoir d'Habyarimana ce bataillon du FPR opéraient dans des zones sous emprise des INTERAHAMWE (dont tout le comité directeur étaient des jeunes tutsi membres du FPR commentant des Crim au nom du MRND pour renforcer la haine interethnique afin de justifier l'intervention du FPR venons ''sauver les TUTSI '' vous comprendrez que c'est la même méthode que procède le M23 pour justifier sa barbarie)

    Le 28 décembre 1993, c'est à partir de MURINDA (à la frontière entre le Rwanda et l'Ouganda) que ce bataillon composé de 600 éléments du FPR fait son entrée, encadré par la Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda (MINUAR). Ce bataillon sera déployé dans la capitale, Kigali, puis cantonné dans les locaux du Conseil National du Développement (CND). Le "Bataillon 600" était dirigé par le Lieutenant Colonel Charles Kayonga (devenu Général plus tard).

     Mais ce 6 avril 1994, l’avion du Président Juvénal Habyarimana est abattu et le génocide commence dans les heures qui suivent. Le "Bataillon 600" qui désormais comptait plus  de 1300 hommes s'engageaient immédiatement dans les combats contre les Forces Armées Rwandaises (FAR) dès le 7 avril, avant qu'ils ne soient épaulés, à partir du 11 avril, par 3 autres bataillons du FPR qui arriveront en renfort dans la capitale, en provenance du nord du pays.

DEUX JOURS PLUTÔT 


         Le 4 avril 1994, Habyarimana fait une visite surprise au Zaïre pour voir celui qu’il appelle : « grand frère ». Effectivement, la visite du président Habyarimana avait surpris tout le monde y compris les services de sécurité et protocole. Rien pratiquement n’avait été prévu pour son accueil au Zaïre le 4 avril 1994, » avoue Ngbanda. 

    Il présentera son problème en quatre points : 


1. Le projet d’un coup d’État constitutionnel contre lui. Il dit : « Herman Cohen avait décidé de faire d’Arusha la bataille des Américains pour arracher le pouvoir des mains de Habyarimana et le transférer au FPR de Kagame sans recourir aux élections démocratiques. » Pour appuyer son argument, Habyarimana évoque les élections communales de 1993. « Le FPR a été battu à plate couture dans les zones démilitarisés pourtant sous son contrôle de cette rébellion. Ce test a été éloquent et il a dû servir de leçon aux protecteurs de Kagame » dit-il. 

2. La pression et des menaces extérieures. 

Il dit : « Les Américains et les Belges ont organisé une très vaste campagne secrète de débauchage de mes collaborateurs, et des leaders hutu des partis politiques de l’opposition pour les pousser à rallier le FPR et masquer ainsi le conflit ethnique hutu-tutsi qui oppose mon parti, le MRND au FPR. » L’objectif : « fausser le jeu de la transition et donner le pouvoir à mon rival principal parce qu’ils savent qu’il n’a aucune chance de gagner des élections pluralistes et démocratiques. »

3. La planification de son assassinat. 

« Ils continue et révèle au président MOBUTU ; Ils ont le contrôle de l’aéroport et ils disposent de missiles sol-air pour l’exécution de leur plan. Je suis devenu prisonnier dans mon propre pays. Je ne peux décoller et revenir qu’à l’improviste pour qu’ils n’aient pas le temps de préparer leur coup. Voilà pourquoi je ne vous ai pas prévenus de ma visite comme je le fais d’habitude. » 


Mobutu réagit : « Ils ne vont quand même pas oser toucher aux pilotes français ! »

Son homologue, agité, répond : « La guerre est déclarée contre nous et les Français. Les Américains m’ont dit que cette fois, je ne devrais plus compter ni sur Mobutu, ni sur les Français comme en 1990. Cette fois, m’ont-ils dit, ce n’est pas du jeu! » Il enchaîne : « J’ai la conviction qu’ils veulent régler leurs comptes aux Français au travers de nous deux. » 


4 Révélation de son informateur de MURINDA (quartier général de Kagame)

Il m’a dit que la décision de mon assassinat est prise. Le plan d’exécution est en cours; et ce n’est qu’une question de jour.  Il a été décidé de fermer l’une des deux pistes de l’aéroport de Kanombe, pour n’en garder qu’une seule. C’est pour faciliter le positionnement des tireurs d’élite chargés d’abattre mon avion. Il s’agit de la piste 10 avec atterrissage (ce sont les Belges qui tenaient l’aéroport)


Avec des mains qui tremblent, Habyarimana disait : « Je suis certain que l’exécution de leur plan est proche. Tous les signaux sont là.>>

NB: En cette année là, la Belgique à livrer à la rébellion du FPR de Paul KAGAME, les armes qu'avait commandé le gouvernement rwandais (les FAR) pourtant payer par le régime d'Habyarimana. Aujourd'hui kagame et son gouvernement passe le clair de leurs temps à insulté la Belgique ( la Belgique d'où est née sa fille Ange kagame le 08 septembre 1993 pendant que le FPR assassinaient  les nouveaux nées HUTUS au Rwanda dans les zones contrôlé par ses hommes.

 La stratégie machiavélique de Paul Kagame

 Il sait que dans les conditions normales, il ne gagnera jamais les élections libres, démocratiques et transparentes. Il n’a que deux alternatives pour conquérir le pouvoir. 

– Accords de Arusha 

– Violence 

« La stratégie de Kagame est plutôt démoniaque : il manipule les extrémistes hutu pour les dresser contre moi. Il sait très bien que son intransigeance et son arrogance surexcitent les extrémistes hutu qui ne demandent pas mieux que d’en découdre avec les Tutsi. On dirait qu’il ne se soucie nullement du sort de ses frères tutsi qui sont tres nombreux ici. »


Rappelons que pour les extrémistes hutu Habyarimana était  trop laxiste vis-à-vis de la rébellion TUTSIS. 


Il l’avoue à MOBUTU : « Ils m’accusent de vouloir trahir mon peuple en jouant le jeu des Américains pour sauver ma peau et sacrifier le peuple hutu à la vengeance des Tutsi chassés de leur terre et du pouvoir par la voie de la démocratie en 1962. 

Enchaînons! 


Habyarimana dresse trois catégories d’ennemis:  

1)Des collaborateurs du parti, de l’armée et des services de renseignement parmi lesquelles plusieurs ont été débauché sous la pression. 

2) Les médias internationaux et leurs gouvernements. EX: Les États-Unis, la Belgique 

3) Les Etats voisins  alliés des occidentaux et des régimes régionaux. Ex : Museveni, Nyerere.

Le 5 avril 1994, Mobutu est dissuadé de voyager en Tanzanie où il aurait accompagné son homologue rwandais. 


L’un de ses informateurs au nom de François de Grossouvre perdra sa vie le 7 avril.

Mobutu dit:«J’ai eu plus de 5 coups de fil de Habyarimana qui veut se rassurer que nous serons à ses côtés demain à Dar-Es-Salaam. Il m’a demandé si, à notre retour, nous pourrions le ramener avec notre avion et le déposer chez lui à Kigali. Il est réellement paniqué, le pauvre.»

Pourtant la veille une femme TUTSIS travaillons pour le compte des renseignements du FPR m'a dissuader de prendre le même avions que mon homologue HABYARIMANA car le FPR avait décidé d'abattre son avions pour l'éliminer physiquement grâce à l'aide des Amériques qui ont déjà fourni les missiles. Cliquez sur ce lien👇👇👇👇

L'homme dont le destin est éternellement lié à la région des grands lacs.Depuis son lâche assassinat(attentat du 06 avril 1994 de la Falcon 50 présidentielle) par la rébellion du FPR grâce aux missiles sol-air de fabrication Russe appartenant à l'armée Ougandaise. ÉVOCATION de sa mémoire par son fils LEON HABYARIMANA

En somme, tout le monde savaient que le président HABYARIMANA allait être assassiné par KAGAME grâce à l'aide du conglomérat anglo-saxons (USA-UK) et comment ! Mais ils ignoraient juste le jour et l'heure. Car le FPR n'avait aucune chance de gagner les élections.

LA TRAGÉDIE RWANDAISE EST L'ŒUVRE DES OCCIDENTAUX QUI SE LIVRENT À UN BRAS DE FER AUTOUR DE LA RÉGION DES GRAND LACS 



#Rwanda_1994 

L’ignominie réside dans ces vérités que tous connaissaient, mais que personne n’a osé affronter : 

L'implication de Paul Kagame dans l’attentat du 6 avril 1994, qui a abattu l’avion des présidents Juvénal Habyarimana (Rwanda) et Cyprien Ntaryamira (Burundi), qui déclencha  le génocide des tutsi rwandais et les massacres des Hutu accusés de favoriser le FPR, n'était au début qu'un secret de polichinelle.

Les preuves – témoignages de transfuges, enquêtes étouffées, identification des missiles.... sont accablantes, pourtant elles ont été ensevelies sous un silence complice.

Ce n’est pas un hasard. 

Des opérations d’influence – blanches, grises, noires – orchestrées par le FPR avec le soutien des États-Unis et leurs alliés ont verrouillé la vérité. 

Sarkozy, lui aussi, s'activa pour étouffer l'affaire.

Et puis, avant ses autres crimes de masse, en février 1993, le FPR fut le premier à perpétrer une opération de nettoyage ethnique dans la région de Byumba 

Le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), censé rendre justice, fut sciemment empêché d’enquêter sur cet attentat et sur les crimes commis par le Front patriotique rwandais (FPR) avant, pendant et après le génocide. 

Massacres de civils hutus, exécutions ciblées, déplacements forcés : ces atrocités, documentées par des ONG ou des enquêteurs indépendants tels que Robert Gersony, ont été reléguées dans l’ombre.

À la place, une hyper-réalité narrative a été construite, un récit taillé sur mesure pour absoudre Kagame et légitimer son régime. 

Cette fable a justifié l’injustifiable : trois décennies de répression interne, d’ingérence au Congo voisin – où des millions de vies ont été fauchées dans l’indifférence et l’impunité totale. 

Le cynisme de cette histoire est vertigineux.

Soutenu par des puissances occidentales avides de stabilité géopolitique et d’accès aux ressources, Kagame a transformé le Rwanda en vitrine trompeuse, un modèle de développement bâti sur des charniers occultés.

Ce scandale, peut-être le plus monumental de notre époque, révèle une vérité glaçante : 

la justice internationale ne fut qu’un théâtre, et l’histoire, une marionnette aux mains des vainqueurs. 

Trente ans après, la région des Grands Lacs reste une plaie ouverte, et le silence sur les crimes du FPR, une tache indélébile sur la conscience mondiale.

En définitive, la France fut la seule puissance qui ne perdit pas son âme, du moins jusqu'à l'intronisation de N. Sarkozy, comme en témoigne Guillaume Ancel dans la conclusion de son rapport de septembre 1994.

"Si l'objectif était bien d'arrêter les massacres, alors cette opération fut un
succés indéniable .

J'ai pu observer que 300 hommes, certes des légionnaires, ont réussi là où 1500 casques bleus ont lamentablement échoué.

la Légion Etrangère a un prestige tel qu'aucun Rwandais ne s'est risqué pendant cette mission à la prendre à partie.

Pour cette mission délicate de rétablissement de la paix, la rigueur et la
discipline de la Légion Etrangère ont été prépondérantes, leur détermination a été la clef de leur succés."

Sources :



Câbles wikileak démontrant comment l'exécutif français s'efforça de blanchir l'attentat perpètré contre le Président Habyarimana et son homologue burundais qui coûta également la vie à l'équipage français.


Lettre de l'ambassadeur américain Pierre Prosper valant interdiction pour le TPIR d'enquêter sur les crimes du FPR : 

Août 1994 – Câble (déclassifié) de l’Ambassadeur US au Burundi : epoche.fr/wp-content/upl…

Reçu par : jean  François le Drian








        Malheureusement, depuis l'arrivé au pouvoir du protagonistes déclaré vainqueur de cette tragédie Rwandaise, PAUL KAGAME pour se donner bonne conscience organise des commémorations sélective (seules les victimes TUTSI ont le droit d'être commémorés , et la version officielle désigne la première victime de Avril 94 comme hauteur et bénéficiaire du dit Génocide) à condition de ne pas contester que c'est Paul KAGAME et sa rebellion qui ont arrêté le Génocide dont ils ont volontairement déclancher pour conquérir le pouvoir sans passer par les élections prévus dans les accords d'Arusha. Pour légitimer sa thèse les américains vont aider kagame à imposer son narratif dans les médias du monde entier et même à l'ONU ( vote de la résolution 955, et reconnaissant du 07 Avril comme journée internationale de réflexion sur le Génocide rwaindais contre les TUTSI) 31 ans d'injustice mémorielle. 




APPEL À UNE ENQUÊTE INTERNATIONALE INDÉPENDANTE POUR QUE JUSTICE SOIT FAITES.

Pour permettre aux plus de 12 familles endeuillées en cette date du 06 Avril 1994 de commencer à réellement faire leurs deuil, et pour rendre justice aux victimes du GÉNOCIDE des TUTSIS, GÉNOCIDE des HUTUS et ceux du GENOCOST (conséquences directes de l'attentat du 06 Avril 1994 dont le T.P.I.R avait pris le soin de bien soigneusement éviter de traiter ), plusieurs organisations politiques, société civile, la communauté Rwandaise de France et d'autres personnalités de grande renommée ont lancé un APPEL À UNE ENQUÊTE INTERNATIONALE INDÉPENDANTE POUR QUE L'OMERTA QU'ENTRETIENT LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE AUTOUR DE CE CRIMES BARBARES SOIT BRISÉ AFIN QUE LES AUTEUR PUISSENT ÊTRE RECONNU COUPABLE DE CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ.declare le Dr EMMANUEL MWISENEZA président de F.D.U France. Un des signataires du communiqué de presse.




LES REPENTIE DES ÉLÉMENTS DU FPR QUI REGRETTENT D'AVOIR DÉCLANCHER LE GÉNOCIDE RWANDAIS.




 James Munyandinda



James Munyandinda fut ancien garde du corps de Kagame. James Munyandinda, explique comment il a gardé les missiles utilisés pour abattre l'avion qui transportait deux présidents qui sont celui du Rwanda et celui du Burundi, l'attentat avait été commis le 6 avril 1994,il explique aussi comment Kagame a ordonné aux commandos de l'APR de tuer les Tutsis dans le but d'alimenter le génocide du Rwanda. Et de chasser l'après-midi du 06 Avril 1994 tout les parents TUTSI qui venaient rendre visite au bataillon "600" sise au CND.

Émilie Gafirita 





Ce soldat Émilie Gafirita, il était membre de l'APR de Paul Kagame, il affirme que c'était lui qui avait transportait les missiles qui avaient abbatu l'avion du président Habyarimana le 6 avril 1994 au Rwanda. Ce militaire devait aller témoigner devant le juge français Brugière,mais il a été enlevé 2 jours avant son départ pour 

la France soit le 19 novembre 2014. Il avait trouvé refuge au Kenya à Nairobi. Plusieurs analystes estiment qu'il a été tué par un commando de Kagame. Voici son témoignage :

Le 6 avril le jour de l'attentat, ils avaient que 4 Motorola des walkie-talkie un Motorola était en possession de Paul Kagame un autre James Kabarebe, un autre avec Charles Kayonga et le dernier avec l'équipe qui allait abbatre l'avion.

Voici les noms des deux tireurs qui ont tiré les missiles sur l'avion, il s'agit de :

1: Caporal Eric Hakizimana

2: deuxième lieutenant Frank Nziza

Il déclare à son avocat : 

  Quand l'attentat a été commis et qu'on était sûr que le Président Habyarimana était mort. James Kabarebe est venu nous informer, il a aussi commencé à chanter, les paroles de la chanson disait ceci : " Si Habyarimana est tué nous ne pleurons pas, nous prendrons son corps et nous irons le jeter à la rivière pour que les crocodiles puissent le manger." Je demande un débat contradictoire avec James Kabarebe, je sais tout ce qui sait passer avant, pendant et après l'attentat. Cette nuit-là, à MURINDA au QG du FPR, Paul KAGAME et ses éléments ont célébré la mort du président HABYARIMANA c'est-à-dire le début du Génocide des TUTSIS. Seul moyen pour Paul KAGAME et sa rebellion d'arracher le pouvoir puis de s'installer à la tête du Rwanda.





Depuis son arrivée au pouvoir, Paul KAGAME a mis en place un Etat monoethnique tyrannique dont lui-même se fait élire avec des scores plus que soviétique ! Soit 99,99% 










LA FRANCE SACRIFIE LA VEUVE DU PRÉSIDENT HABYARIMANA POUR MAINTENIR LES RELATIONS ENTRE LES DEUX PAYS.




      Exfiltrés le 09 Avril 1994 , soit 72h après l'assassinat de son Mari (elle et le reste de sa famille) Par l'armée française. 

    Aujourd'hui, la RDC grâce à sa diplomatie agissante le monde entier vient de découvrir le vrai visage de KAGAME et la résolution 2773 associé à tout les rapports des experts des nations unies nomme clairement l'agresseur Rwandais et sa responsabilité dans 3 GÉNOCIDE ( Génocide des TUTSIS, Génocide des hutus et le Genocost). La France D'EMMANUEL MACRON et sa Junte judiciaire veulent faire porter le chapeau de l'attentat du 06 Avril 1994 à la veuve du président Habyarimana.

Tweet de JEAN LUC HABYARIMANA 


Malgré le pas en avant marqué par les sanctions européennes contre KIGALI, initialement bloquées pendant plusieurs semaines par PARIS, la FRANCE cherche désormais à rassurer KAGAME sur la solidité de leur partenariat. C’est précisément dans ce contexte que le Parquet national antiterroriste (PNAT) a demandé la mise en examen de Mme Agathe HABYARIMANA pour « participation à une entente établie en vue de commettre un génocide et des crimes contre l’humanité ». Cette demande doit être examinée ce mercredi 19 mars par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris.

La cible choisie est à la hauteur de la douleur infligée par les sanctions européennes qui risquent de paralyser l’économie rwandaise. Paris a donc choisi d’y aller franco et de prendre Kigali par les sentiments. Mme Habyarimana est visé dans cette procedure non pas pour des faits étayés par des preuves (le Tribunal Pénal International pour le Rwanda l’a aquitté il y a plus de 20 ans) mais simplement parce qu’elle porte le nom de son mari. Un nom que, malgré trois décennies au pouvoir et de multiples tentatives de réécriture de l’histoire, KAGAME n’a jamais réussi à effacer de la mémoire collective des Rwandais.

Cette démarche judiciaire révèle donc un profond malaise au sommet des autorités françaises, cherchant à ménager les relations avec Kigali à l'approche sensible des commémorations du génocide rwandais et juste après la mise en place de sanctions européennes qui affaiblissent le régime. Toutefois, cette tentative de rapprochement ne doit en aucun cas s'effectuer au détriment d’Agathe Habyarimana, victime directe de l'assassinat brutal de son mari, le président Juvénal Habyarimana, par un commando du FPR et donc victime collatérale du conflit sanglant qui s'en est suivi. Il est également crucial que la justice française, garante d'équité et de transparence, ne soit pas instrumentalisée et sacrifiée sur l'autel d'intérêts diplomatiques opaques.

Le Parquet National Antiterroriste, institution sous l'autorité directe du garde des Sceaux, invoque une prétendue lenteur de la procédure pour justifier cette accélération soudaine, alors que le véritable problème réside dans l’absence totale de preuves contre Mme Habyarimana. L’avocat de Mme Habyarimana, Me Philippe Meilhac, dénonce cette démarche comme un « coup de poker » fondé sur un dossier vide, affirmant que la seule issue envisageable après dix-huit ans d’enlisement judiciaire est un non-lieu. Cette tentative manifeste d'inculper une femme de 82 ans apparaît clairement comme une ingérence flagrante et inacceptable du pouvoir exécutif français dans une affaire judiciaire sensible.

Il est notoire que des membres influents du gouvernement français entretiennent depuis longtemps des liens étroits avec le régime de Paul Kagame. Cette proximité diplomatique, initiée sous Nicolas SARKOZY et poursuivie sous Emmanuel MACRON, soulève des questions légitimes sur les motivations cachées derrière cette affaire. L’idée que la France puisse échanger sa crédibilité judiciaire et ses valeurs fondamentales contre des bénéfices diplomatiques discutables est profondément alarmante.

Certes, l’usage de l’appareil judiciaire à des fins diplomatiques n’est pas nouveau dans l’histoire des relations internationales. Mais instrumentaliser ainsi la justice pour s’attaquer à une veuve âgée, elle-même victime du drame rwandais, dépasse toute limite morale. Il est crucial de rappeler que le Tribunal pénal international pour le Rwanda a déjà jugé et acquitté les principales personnalités du régime précédent, y compris des proches de Mme Habyarimana, concernant les mêmes charges que le PNAT cherche aujourd’hui à réactiver injustement.

Par ailleurs, il est indispensable de rappeler que l’enquête française sur l’attentat terroriste contre l’avion présidentiel rwandais, responsable de la mort des présidents Juvénal Habyarimana et Cyprien #Ntaryamira, a été abandonnée à la suite de pressions politiques exercées d’abord sous Nicolas Sarkozy puis sous Emmanuel Macron. Bernard #Kouchner, ancien ministre des Affaires étrangères, avait même publiquement reconnu son rôle actif dans le sabotage de cette enquête, favorisant ainsi les intérêts du régime rwandais.

Aujourd’hui, le monde doit s’interroger sérieusement : jusqu’où certains dirigeants sont-ils prêts à aller pour satisfaire des accords diplomatiques aux contours obscurs ? Seule l’Histoire révélera pleinement l’étendue de ces compromissions, mais en attendant, il incombe à chacun de défendre la justice, la vérité et la dignité humaine.



Commentaires

  1. Le 6 avril 1994 marque un tournant tragique dans l’histoire du Rwanda. L’attentat contre l’avion présidentiel a été le déclencheur d’un génocide aux conséquences humaines incommensurables. Des voix s’élèvent aujourd’hui pour exiger une enquête internationale indépendante sur cet événement. Des témoins accusent Paul Kagame et le FPR d’avoir orchestré l’attentat pour prendre le pouvoir. La veuve du président Habyarimana, pourtant acquittée par le TPIR, est à nouveau visée par la justice française. Cette procédure judiciaire soulève des interrogations sur l’indépendance de la justice face aux pressions diplomatiques. La vérité sur cet attentat reste enfouie sous des décennies de silence et de manipulation. Il est temps que justice soit rendue aux victimes de toutes les communautés.

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